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MARC TASSEL


Photographe autodidacte, je suis né à Morlaix en 1948.
Après avoir résidé à Marseille, au Maroc et dans la région parisienne, je m'installe pour un retour aux sources en Bretagne, à Guérande,
Mon parcours photographique commence à 11 ans, lorsqu'on m'offre pour mon passage en 6ème un Brownie Flash.
Resté fidèle à l’argentique pour le noir & blanc, depuis plusieurs années, lors de clubs photo que j'animerai au sein de divers collèges, je découvre le sténopé.
Cet appareil sommaire et minimaliste ne me quittera plus.
Sa pose longue et le grain de la Tri-X me permettent d’obtenir un flou plus rond, plus sensuel. Cela donne à mes paysages, naturels ou urbains, un coté irréel, voire onirique.
J'essaie de vous mettre face à une réalité mystérieuse, vaporeuse, dont les lignes parfois floues rendent, il me semble, le décor plus doux qu'il n'est, atemporel et poétique.
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La ville au sténopé

Marc TASSEL, photographe autodidacte a débuté et s'est aguerri à l’école de l’argentique.
Ses images faites au sténopé sont actuelles et en même temps renvoient à un passé plus lointain, dans un univers mystérieux, irréel, intemporel, voire onirique.
Ses photographies urbaines représentent une réalité inhabituelle, d'une architecture aux lignes floues dans une atmosphère vaporeuse.
Le temps se prolonge pour fixer ces paysages sur la pellicule. L'humain est présent malgré les rues qui semblent vides, ou parfois fantomatiques.
L'image est aléatoire, le photographe accompagne son sténopé en égrenant les secondes. Le sténopé demande de la patience, d'arrêter le temps, afin de pouvoir donner une vision décalée de la ville.
«  Dans un monde d'impermanence, l'image au sténopé ne garde que l'immuable. Le transitoire n'a pas sa place.  » (Guy Glorieux)

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