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DEBORA SANSO

Debora Sanso serait mieux décrite comme une New-Yorkaise embrassant la vie à Paris. Ses études en art et en design correspondent parfaitement à ses œuvres photographiques ici à Paris. Elle est une exploratrice visuelle, non seulement en observant son environnement, mais aussi en le ressentant. Son travail est un mélange – combinant des éléments visuels – surréalistes – abstraits – conceptuels – rue – même des beaux-arts et des natures mortes – le tout enveloppé dans un élément visuel unique. Elle observe et tire des éléments visuels variés pour créer une œuvre unique. Son style noir et blanc caractéristique – photographier en noir et blanc – l’aide à transférer son visuel interne. Elle veut que le spectateur ne voie pas seulement mais qu’il ressente aussi, mais jamais au sens littéral. Son travail a été décrit comme « donnant un sens ou un sentiment de loneliness, un lieu où elle est perdue » - « spirituelle - stimulante, graveleuse - c’est réel et imaginatif ». 
Debora a reçu une reconnaissance variée, tant en ligne que dans des publications imprimées. 
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Carnaval des Âmes
« Carnaval des âmes » est basé sur le film culte produit en 1962. En tant que film en noir et blanc – à petit budget – cette série capture l’essence de l’atmosphère inquiétante qui règne dans le film. Chaque œuvre est photographiée à Paris – remettant en question les différentes significations et interprétations du film ainsi que la vie dans la ville. Ces œuvres représentent un lien fort avec ce film car cette série est un projet en cours. Chaque photographie est dans sa forme naturelle – non mise en scène – photographiée exactement comme on le voit. Ce sont des découvertes uniques dans la ville – pas seulement vues mais ressenties. Ce sont de petites vignettes – des histoires dans chaque image – dépeignant une certaine forme de réalité – mais ce sont des absurdités – la vie quotidienne explorant le domaine d’une autre dimension. Chaque œuvre évoque des questions – démontrant un visuel d’hyperréalisme – comme dans le film. Nous interrogeons la réalité de ce que vit le personnage principal – un transfert émotionnel – un « Carnaval des Âmes ». 

Comme il y a une recherche de normalité – la réalité – les lignes suivantes du film le résument parfaitement :
Mary laments towards the end of the film: "I don't belong in the world, that's what it is. Something separates me from other people. Everywhere I turn, there's something blocking my escape." 

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