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ON SE SOUVIENT
UN LIVRE DE ANNE SOLANGE GAULIER

ÉDITION NUMÉROTÉE DISPONIBLE EN PRÉACHAT À PARTIR DU 02 AVRIL

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ON SE SOUVIENT

ÉDITION LIMITÉE, NUMÉROTÉE, SIGNÉE PAR LA PHOTOGRAPHE

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Corridor Éléphant Éditions propose depuis dix ans des livres d’artistes émergents en édition de collection, limitée, numérotée et signée.

Le livre de Anne Solange Gaulier est disponible en édition de collection, imprimé sur un papier semi-mat 170 g, numéroté et signé par l’auteure. 

L'édition de collection est imprimée en France et envoyée par nos soins dans un très beau papier de soie bleu cacheté. .

Acquérir le livre en édition limitée, c’est désirer un objet unique faisant lien avec l'auteure.

Format 15 x 21 cm (format cahier). 68 pages. 51 photographies. Couverture 400 g pelliculée. Papier intérieur 170 g semi-mat.

PRÉACHETER / VOIR  LE LIVRE 

Bien plus qu’une invitation au voyage, la série « On se souvient » d’Anne Solange Gaulier est, au fur et à mesure que les œuvres se découvrent, une introspection, un retour à soi. Le regard cherche dans l’image ce « familier », sans l’être tout à fait, qui se pressent. La photographe donne à voir dans un cadrage en équilibre, qui ne se ferme jamais tout à fait pour mieux laisser place à l’image suivante. Le regard se promène, déambule du plus petit au plus grand. Aucune nostalgie à la fin de ce périple où chacun trouvera sa couleur. Une question, peut-être : vous souvenez-vous ?

L’éditeur

ON SE SOUVIENT (EXTRAIT)

L'INTERVIEW D'ANNE SOLANGE GAULIER

Pourquoi photographier ?

Je ne suis pas « devenue » photographe, je suis née artiste. Je photographie mais je pourrai tout aussi bien peindre, écrire, etc. C’est une évidence de vie pour moi. Je citerais Susan Sontag : « Une photographie est le résultat du conflit entre deux impératifs : embellir, impératif hérité des beaux-arts, et dire la vérité : photographier, c’est conférer de l’importance. » (Susan Sontag, Sur la photographie)

Dans ce travail, chaque photographie est une œuvre à part entière, riche, onirique, et l’ensemble donne à suivre un chemin comme on lirait un conte. Comment vous est venue l’idée de ce travail ? 

Un conte est une histoire qui donne un sens.

Il m’a plu de suivre ce schéma de conte. Chaque image répond à chacune de mes questions : qui ? quand ? quoi ? que se passe-t-il ? alors ?

 

Comment s’est-il construit ?

J’ai commencé cette série il y a 5 ans.  D’abord l’écriture : écrire ma douleur qui petit à petit est devenue plus calme. Puis j’ai décidé de partir avec mes mots, mes lettres, mon appareil photo. J’ai essayé de renouer avec un temps passé qui fait partie de moi. Je suis partie à Sa recherche à travers les cités, les paysages, les ciels. J’ai photographié tous ces endroits que nous avions aimés. En commençant par le début. Une histoire d’amour, une vérité. J’ai laissé mes petits morceaux de papier avec mes mots dans chacun de nos endroits. Sous une pierre, dans une boîte aux lettres, coincés dans une porte abandonnée… Je me suis souvenue qu’au début de la photographie, le caractère spectral des clichés invitait à des affinités électives avec les mondes immatériels.

 

Pourquoi avoir choisi de publier les photographies en petit format (6x6 cm, 8x8 cm) ?

L’œil doit se rapprocher de chaque photographie. Chacun doit pouvoir imaginer son histoire avec une certaine curiosité. Le livre suggère un chemin à suivre, peut-être initiatique?

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